Focus ton Article
veilleur1
2025-11-24
Bulletin n° 22 A 3
#Principal :
culture numérique
inspiration
numérique responsable
#Secondaire :
entreprise
région GrandEst
RSE
Interêt :
tactique
Média :
actu
Papier
Objectif :
comprendre
savoir
Pestel+ :
social
technologique
Non Classés :
agenda
Ce vendredi, le campus Centrale Supélec de Metz Technopôle accueille un salon de découverte des métiers du numérique, Automne numérique, organisé par l’association Femina tech qui est engagée dans la mixité au sein des métiers techniques. Plus de 1 000 élèves sont attendus sur la journée. Des professionnels et des étudiantes de l’école d’ingénieurs Centrale Supélec mèneront les activités.
Il n’est pas toujours simple pour une femme de s’orienter vers le domaine du numérique, très majoritairement masculin. C’est le combat de l’association Femina tech, qui organise ce vendredi 28 novembre la septième édition de l’Automne numérique au campus Centrale Supélec de Metz-Technopôle : un salon de présentation des métiers du numérique. Entre 9 h et 17 h, plus de 1 000 élèves, en provenance d’une dizaine de collèges et lycées, jusqu’à la Moselle-Est et Nancy, participeront à cette journée de découverte. Des jeunes adultes en recherche d’emploi de l’École de la 2e chance et de la Mission locale sont également invités.
Professionnels du secteur numérique et étudiantes de l’école d’ingénieurs Centrale Supélec, partenaire pour la première fois, seront répartis sur trois espaces. Une zone d’échanges avec les visiteurs, pour qu’ils puissent découvrir les métiers. Un espace sera dédié à des conférences sur des thématiques comme l’IA, la cybersécurité ou la réalité virtuelle. Pour faire participer les jeunes, des ateliers pratiques seront également mis en place : la création de robots par exemple.
Déconstruire l’image de « métiers d’hommes » et « métiers de femmes »
Pour Femina tech , la mixité doit concerner les filles comme les garçons. « Les unes doivent prendre confiance en elles, ne pas s’autocensurer. Les autres doivent comprendre qu’il est normal de voir des filles dans ces corps de métiers », argumente la communicante, Louise Barrière. Pour encourager les jeunes filles, les organisateurs ont prioritairement fait appel à des étudiantes de l’école Centrale Supélec. « Elles font figure d’exemple », justifie Louise Barrière.
Selon l’INSEE, en 2023, les femmes occupaient 23 % des emplois dans les professions numériques. Un déséquilibre qui s’explique par une vision sociétale assez figée. D’après le dernier baromètre GenderScan paru en février 2024, plus d’une étudiante sur trois dans le secteur des technologies et du numérique a été découragée de faire ce choix, soit deux fois plus que chez les garçons. Femina tech s’inscrit dans le combat contre l’image de « métiers d’hommes » et « métiers de femmes ».
Professionnels du secteur numérique et étudiantes de l’école d’ingénieurs Centrale Supélec, partenaire pour la première fois, seront répartis sur trois espaces. Une zone d’échanges avec les visiteurs, pour qu’ils puissent découvrir les métiers. Un espace sera dédié à des conférences sur des thématiques comme l’IA, la cybersécurité ou la réalité virtuelle. Pour faire participer les jeunes, des ateliers pratiques seront également mis en place : la création de robots par exemple.
Déconstruire l’image de « métiers d’hommes » et « métiers de femmes »
Pour Femina tech , la mixité doit concerner les filles comme les garçons. « Les unes doivent prendre confiance en elles, ne pas s’autocensurer. Les autres doivent comprendre qu’il est normal de voir des filles dans ces corps de métiers », argumente la communicante, Louise Barrière. Pour encourager les jeunes filles, les organisateurs ont prioritairement fait appel à des étudiantes de l’école Centrale Supélec. « Elles font figure d’exemple », justifie Louise Barrière.
Selon l’INSEE, en 2023, les femmes occupaient 23 % des emplois dans les professions numériques. Un déséquilibre qui s’explique par une vision sociétale assez figée. D’après le dernier baromètre GenderScan paru en février 2024, plus d’une étudiante sur trois dans le secteur des technologies et du numérique a été découragée de faire ce choix, soit deux fois plus que chez les garçons. Femina tech s’inscrit dans le combat contre l’image de « métiers d’hommes » et « métiers de femmes ».